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C’est quoi travailler en mode agile ?

Gérer un projet ou une activité est une tâche plus ou moins complexe. Bien que cette complexité soit axée sur le type de projet dont il est question (gros ou petit projet), il n’est néanmoins pas facile d’atteindre vos objectifs sans se baser sur une méthode de travail efficace. L’une de ces méthodes est la méthode agile.

Qu’est-ce que la méthode ou le mode agile ?

S’opposant à la méthode dite de « waterfall » ou de « cycle en V », le mode agile confère une certaine flexibilité et une souplesse dans la gestion de vos projets. En effet, ce mode constitue un ensemble de méthode de gestion de projet qui recommande de se fixer des objectifs à court terme. En d’autres mots, vous subdivisez votre projet en de petits projets.

Une fois un petit projet bouclé, vous passez à un autre, ainsi de suite jusqu’à la réalisation du projet principal. Cette manière de faire, vous permet d’être flexibles et de laisser place aux imprévus. Vous anticipez donc sur les problèmes qui pourraient subvenir lors de la réalisation du projet.

Bien qu’elle ait été, au départ, conçue pour permettre une meilleure gestion des projets  Informathic et de développement web, elle connaît aujourd’hui un grand succès dans plusieurs autres secteurs.

Quelles sont les méthodes dérivées du mode agile ?

Quand vous décidez d’adopter le mode de travail agile, il vous reste à savoir quelle méthodologie agile est la plus adaptée. Le mode agile existe en effet sous plusieurs formes et peut prêter à confusion si l’on ne maîtrise pas ces formes.

  • La méthode Scrum :

C’est la méthodologie de gestion la plus célèbre. Tenant son nom du Rugby, elle est basée sur un fonctionnement qui consiste à changer la direction du projet au fur et à mesure que celui-ci avance. C’est ce que l’on appelle une mêlée « Scrum » en anglais.

  • La méthode Extreme Programming ou XP :

Elle a été créée par Kent Beck pour accélérer le développement des projets informatiques. C’est une méthode basée sur le travail à deux dans le but de réduit les coûts générés par les changements. Vous aurez donc compris que c’est une méthode qui complète souvent la méthode Scrum.

  • Le Rapid Application Development (RDD) :

​​​​​​​Cette méthode est basée sur la durée. Elle stipule que le projet doit être bouclé dans un délai de 120 jours maximum.

  • La Dynamic System Development Method (DSDM) :

Il s’agit d’un classique des années 1990 qui est basé sur l’autonomie de l’équipe de travail, la collaboration et l’itération.

Outre ces méthodes, il y a également le Feature Driven Development (FDD) et le Rational Unified Process.